En se basant sur des données recueillies sur le terrain, dans les zones où les actions du Projet ont été effectivement mises en œuvre, les interventions ont permis à environ un tiers (1/3) de la population de vendre au moins 170 kg de céréales sans que cela n'impacte sur la consommation annuelle. En plus, d'autres spéculations leur procurent des revenus financiers conséquents notamment la culture du niébé. Cette culture, dans l'ensemble de la zone d'intervention, procure environ 3,7 milliards CFA par an aux producteurs (la grande partie se trouvant aux abords sud de la partie camerounaise du Lac Tchad).